Tout le monde attend cette course depuis des semaines... l'une des plus belles de la région.
La journée est réchauffée par un doux soleil..pour laisser place en fin d'après midi à des gros nuages noirs, qui déversent leurs gouttes 2 heures avant le départ... Nous avons RV à 20h30 dans le hall de disribution de dossards... entre les soucis techniques de joelette à résoudre, le bonjour aux et aux autres... et rejoindre la ligne de départ c'est un joyeux chaos, comme d'hab avec les Dunes ... Mais le chef reprend bientôt tout ça en main.. nnnooon mais !! On répartit les coureurs sur les joélettes, et l'on installe Camille et Gaspard ... Ils sont tous deux équipés pluie .. mais la pluie s'arrêtera là et nous oubliera pour la course . Arrivés dans les box de départ vers 22h00.. nous pouvons admirer le feut d'artifice tiré sur les hauteurs d'Obernai pour saluer le dépat de la 1ere vague... les cracheurs de feu devant la ligne.. Vague 3 22h09..c'està la 1ère joelette de s'élancer.. la 2éme suivra 5 mn plus tard.... la traversée du Centre Ville est indescriptible...ça nous rappelle les cols du Tour de France.. les Dunes sont encouragés de toutes parts, on commence à nous connaitre !. Pour cette 10ème édition, les organisateurs ont fait les choses encore plus spectaculaires ! pas un mètre dans l'ombre.. des luciolles partout, de la musique à tous les coins de chemins..la grosse montée du km 3 est avalée facilement, encouragés que nous sommes par les bénévoles qui arborent des flambeaux dans toute la montée. Un dernier effort et nous voici au 4eme km, sommet de la côte, une vue imprenable sur la ville, avec les frontales des 1ers coureurs qui serpentent dans la ville en bas... après quelque blagues échangées avec le Pc des secours..nous repartons dans la descente en chantant. Le centre ville à nouveau nous avale au sein de son magma de spectateurs criant et applaudissant... c'est chouette cette course. UIn ravitaillement au 7 eme km et voilà que la 2eme joelette rattrape et dépasse la 1ere.. pffuuu trop pressés ceux là, ils ne profitent même pas du spectacle ! Le Parc maintenant.. le nec plus ultra de l'éclairage.. du son..du l'ambiance... Camille et Gaspard vivent toutes ces émotions visuelles et sonores avec grand plaisir... Une dernière côte aux flambeaux.. un dernier détour à l'extérieur de la ville... des lasers dans la nuit , presque une discothèque ! nous voici de retour au centre ville... le dernier km..dans chaque virage des hourras pour les enfants.. et déjà la dernière ligne droite sur les remparts.. la haie d"arbres habillés de lumière chatoyantes, une arche d'arrivée en ballons.. Que d'émotions.. comme d'hab. Mais cette course là..elle est unique ..
Merci à Camille et Gaspard ...d'avoir encouragé les coureurs et d'avoir bravé la pluie .. Merci à vous les filles et les gars d'être toujours là pour nos passagers, avec cette enthousiasme et cette bonne humeur !
Après un réveil matinal, moult rendez-vous et covoiturages, nous voilà réunis au sommet du Hohneck, prêts pour une l’aventure avec Victor : 16 kilomètres et quelques centaines de mètres de dénivelé. La joelette, faute de passagers, ne fait que la moitié de la course. Brrr, il fait venteux tout là-haut à 1366 mètres d’altitude, mais le ciel parsemé de nuages laisse présager une belle journée. Victor trépigne d’impatience depuis plusieurs semaines, alors c’est parti, nous dévalons la pente. Ces cinq premiers kilomètres de descente permettent aux nouveaux venus de se familiariser avec la joëlette et nous mènent rapidement au col de la Schlucht, lieu de notre premier ravitaillement. Cette descente aurait dû laisser le temps à nos supporters de nous y rejoindre…mais où sont-ils donc ? Nous apprendrons plus tard qu’Annie et Denis, maman et papa de notre passager, seront restés « coincés » dans les virages et bouchons vosgiens. Qu’à cela ne tienne, nous les retrouverons plus loin. Cécilia, une néo-duniste, et Bernard « le lièvre » gonflent le groupe qui reprend le chemin de la course, chemin qui monte cette fois - fallait bien que ça arrive – au sol moelleux à souhait et en pleine forêt : ça roule tout seul pour les filles qui assurent cette fois le transport de Victor à 100 %. Aaah, les voilà nos fidèles supporters ! Le ravitaillement du Lac Vert permet enfin à Victor de donner ses premières impressions (positives !) à ses parents. Les dunistes prennent des forces au « buffet » bien garni et les voilà repartis pour la dernière ligne droite. Droite ? Tu parles ! Les montées se succèdent et se font de plus en plus rigoureuses, remplaçant nos foulées par des pas rapides. La moquette est un souvenir lointain puisque maintenant, place à la caillasse ! Il y en a de partout : nous sommes en haute montagne. Jusque-là, Victor aura été bichonné. A présent, Victor sera soulevé, balancé, secoué comme un Orangina ! Il rigole ? Et bien dans ce cas, il sera aussi « argilé » : ce fou-furieux de Christian s’est mis en tête de dégoter la moindre flaque de boue pour jouer au petit garçon avec la joëlette et Victor ! Attention aux éclaboussures sur les randonneurs qui observent, perplexes, nos bêtises… Les encouragements des coureurs qui nous doublent sont nombreux, mais la palme reviendra à ce groupe de personnes âgées déjeunant sur l’herbe, quelle pêche ! Le paysage au gazon du Faing est de toute beauté et le panorama sur la vallée fantastique. Il faut dire que la météo joue avec nous : vent inexistant, température clémente et ciel bleu azur. Hop, quelques photos de groupe. Tiens, quels drôles d’animaux se promènent ici ? Des lamas ! Avec beaucoup d’efforts, Victor résiste pourtant à l’envie de leur faire un petit bisou … (lol). Allez, on reprend le chemin des crêtes ; les hommes forts de l’équipe prennent en charge la joëlette. La descente vers le Lac Blanc se fait plus rapide, nous percevons l’animation régnant autour de l’arrivée et qui nous donne des ailes. Nous y sommes presque ! Nous longeons encore la piste de ski, puis un panonceau nous indique l’arrivée à 500 mètres, après une dernière montée raide, où les premiers supporters nous acclament de loin. Et voilà la banderole de l’arrivée ! Victor fait les derniers mètres debout entouré des dunistes et sous les applaudissements et encouragements de tous présents autour de l’arrivée. Quelles émotions pour nous qui l’avons accompagné aujourd’hui ! A la question, « t’as pas été trop secoué ? », Victor répondra « c’est super, encore mieux qu’au Kochersberg ». Pari gagné, l’aventure était donc bien au rendez-vous aujourd’hui. Gageons que Victor sera OK pour les crêtes 2012… Un clin d’œil particulier pour la première course en jaune de Cécilia et Samuel.. quelque chose me dit que ce n’est que le début d’une belle histoire en jaune. Un autre clin d’œil à Antoine et Jacques, dignes représentants de l’antenne parisienne à être venus se régaler sur les sommets vosgiens, sans oublier Philippe que Jacques avait emmené dans ses bagages…
Voilà un semi marathon comme on aimerait en courir plus souvent. N’étaient les quelques gouttes qui ont parsemé le parcours, cette course de rentrée a tenu toutes ses promesses. Clémence et Marie, habituées de ces week-ends, ont repris “l’entrainement“ avec beaucoup d’entrain. Accompagnées d’une quinzaine de Dunes, les championnes ont dévalé les 20 bornes (trop facile 11 km !) à travers la forêt de Fausse-Repose et des étangs de Ville d’Avray. A l’arrivée un T-shirt, à l’effigie de l’épreuve, la QBRC (Quelques bonnes raisons de courir)ont été remis à Clémence et Marie. Elles seront sûrement partantes lors des prochaines épreuves : La Chenaysienne, le 18 septembre et Paris-Versailles le 25. On ne relâche pas l’effort, la saison sera longue…
Un départ avec fifres et tambours de la bande du carnaval dunkerquois, quoi de plus naturel pour ce trail aux couleurs du Nord Pas de Calais ! Associés à nos amis raideurs des pompiers de Paris emmenant sur leur joélette, André Louis, un "confirmé" car ayant déjà participé à plusieurs courses avec la Ch' ti team nous descendons avec Anaëlle et Diane la digue de Wissant qui nous emmène tout droit dans le sas de départ des 36 kms Roulant pour les premiers kilomètres de sable dur sur la plage avec un vent de face à décoiffer nos passagères, nous entrons vite dans le vif du sujet et les Dunes de sable mou ou il faut "souquer" dur pour avancer Parti 30 minutes avant la "horde" des trailers, ceux ci finissent par nous rattraper, (voir même nous doubler pour la plupart) avec beaucoup d' attention en gestes et paroles pour nos princesses des sables Bientôt les galets de la plage d' Ambleteuse ou nous regrettons finalement le sable (même mou !) A peine sortis des rochers bordant la station balnéaire, voila que la rivière Slack nous tend les jambes pour un bain de pieds sans délicatesse (et sans piranha) mais ou nous préservons de l' humidité ambiante nos deux traileuses Au Km 18, à Wimereux, après un bref passage au stand, JB et Clément prennent le relais pour un parcours nature à travers la campagne littorale intérieure Y a autant de sable que dans le désert nous glissent nos valeureux chefs d' escadron Clément et JB mais beaucoup mois de dromadaire Allez savoir pourquoi ? Jusqu' alors sec, légèrement nuageux avec une fenêtre entre 11h30 et 11h32 ou nous avons pu apercevoir les cotes anglaises, voila qu' un grain vient nous rafraichir et nous rappeler que nous sommes bien sur la cote d' opale ! L' arrivée approche à "petits pas" et nous de savourer TOUS ENSEMBLE, TOUS ENSEMBLE ! ces merveilleux moments de bonheur partagés entre tous A peine la ligne d' arrivée franchie, Franck, l' organisateur vient à notre plaisir pour partager notre rencontre ! L' inverse ça va aussi ! On en a pris plein les yeux et après avoir reçu une grosse coupe nous nous quittons avec un cœur gros comme ça en espérant se revoir au plus vite Amitiés Ch' tis Philippe Et y sont ou , Et y sont ou ?..........A vous d' improviser la suite
Voilà un semi marathon comme on aimerait en courir plus souvent. N’étaient les quelques gouttes qui ont parsemé le parcours, cette course de rentrée a tenu toutes ses promesses. Clémence et Marie, habituées de ces week-ends, ont repris “l’entrainement“ avec beaucoup d’entrain. Accompagnées d’une quinzaine de Dunes, les championnes ont dévalé les 20 bornes (trop facile 11 km !) à travers la forêt de Fausse-Repose et des étangs de Ville d’Avray. A l’arrivée un T-shirt, à l’effigie de l’épreuve, la QBRC (Quelques bonnes raisons de courir)ont été remis à Clémence et Marie. Elles seront sûrement partantes lors des prochaines épreuves : La Chenaysienne, le 18 septembre et Paris-Versailles le 25. On ne relâche pas l’effort, la saison sera longue…
Cette année sur les chemins de la Ronde Cérétane ce furent 4 paires d’yeux émerveillés qui ont illuminés notre journée et réchauffé nos cœurs !!! En effet c’est sous un temps maussade et un petit crachin breton que Sophie, Jeanne, Salomé et Kévin ont pris place sur les joelettes des Dunes d’Espoir pour participer à la 28ème édition de cette course phare des Pyrénées Orientales !!!
Une grande nouveauté cette année (et une source d’espoir pour Jean Marc …) c’est la participation de 9 coureurs de son club venus très efficacement renforcer la « dream team » des marseillais toujours fidèles. Souhaitons donc la bienvenue à Lionel, Laurent, Stanislas, Pascal, Véronique, Jean Claude, Jean Pierre et Trinité (seconde participation pour eux) et Antoine (le papa de Salomé). Nous comptons beaucoup sur votre engagement futur afin de faire flotter encore plus haut les couleurs des Dunes dans le département !!!
Au programme, deux boucles alternant des passages en ville sous les émouvants encouragements d’un public nombreux et bruyant, et des chemins serpentant entre vignes et garrigues. Toujours très appréciés des participants, et surtout des enfants, les ravitaillements « produits du terroir » où muscat, rousquilles et saucisse grillée reçurent les honneurs des coureurs en jaune.
Au terme de ces deux boucles et après avoir effectué un relais permettant de faire participer 4 enfants avec 2 joelettes tous franchirent la ligne d’arrivée ensemble, encadré par leurs chevaliers servant d’un jour, dans une intense émotion que seules nos jeunes frimousses savent nous procurer.
Merci à Sophie pour ses encouragements ininterrompus, à Jeanne pour ses tendres regards, à Salomé pour son émotion palpable et Kévin pour sa participation. Les applaudissements et les flashs lors de la remise des prix qui suivit l’arrivée sont pour vous, ils doivent être votre force et votre moteur pour prouver à tous que c’est ensemble que nous devons partager les bonheurs de la vie.
Ce weekend de bonheur se termina autour d’un pique nique pris sur les berges du lac de SAINT JEAN PLA DE CORTS, et si la pluie ne s’était pas invitée au festin, je crois que nous aurions eu tous du mal à nous séparer … mais la route des marseillais était encore longue.
Une belle matinée dont nous avons profité, dans la joie et la bonne humeur, et au commencement de laquelle la météo nous faisait grâce de son beau soleil, de sa chaleur presque estivale (personne n'a démarré avec un sac poubelle !) pour le grand bonheur de tous. Le départ s'est fait en fanfare avec la présence bienveillante de Dominique Chauvelier, qui semble t-il à reconnu les tee-shirts ! L'équipage de Salomon comprenait de nouvelles personnes, Lucie, la maman de Salomon (qui s'est entrainée pour l'occasion) accompagnant son fils tout en sourire et bonne humeur, ce fut un vrai bonheur et un soutien non négligeable pour Salomon qui la cherchait souvent du regard ! Pour accompagner cette grâce féminine nous pouvons aisément ajouter Marie-Caroline, qui accompagne les Dunes pour la deuxième fois et disons-le franchement elle est largement prête, merci et bravo à M-C ! Le parcours reste le même, mais même si l'équipage change nous pouvons toujours compter sur nos coureurs confirmés (hommes en général) pour nous tirer d'un bel élan la joëlette sur les montées plus difficiles, et nous permettre de garder des forces pour les descentes !!! Quoi que, nous avons eu une Annick prodigieuse aujourd'hui qui rappelons-le n'a pas cédée en descente avec les garçons!! Encore une belle course qui s'achève et qui nous fait lire dans le sourire des enfants, que leur bonheur, leur joie et leur plaisir sont toujours au rendez-vous, un bonheur communicatif qui nourrit le désir d'être juste là pour eux et partager un plaisir simple. Merci aux enfants et leurs parents, aux coureurs et organisateurs de nous permettre de vivre ces moments. Samira
Quelle chaleur...... !!! On sait tous et toutes que le semi-marathon d'Argentan est très bien organisé : les Dunes y sont toujours les bienvenu(e)s et cette année n'a pas dérogé à la règle. Fait totalement inédit, les organisateurs ont invité sur le parcours la chaleur et le soleil, deux protagonistes pourtant absents tout au long de l'été... !!! C'est donc par 28 degrés que toute la famille des Dunes s'est mise en route pour accompagner Lucas, le régional de l'étape, dans ce périple de 21 kms. Le parcours est toujours aussi agréable quoique différent de celui de l'an dernier dans la mesure où nous avons terminé par la forêt. Un petit vent très apprécié de tout le monde nous a permis de réaliser le temps de 2h et 10 minutes, pas terrible mais pas si mal que ça quand même ! Il faut noter que les spectateurs nous ont comme d'habitude encouragés et, comble du comble en Basse-Normandie et en automne, arrosés copieusement et ce, à notre demande... !!! Lucas a beaucoup apprécié la ballade malgré le soleil (un peu trop) généreux de cette belle après-midi du mois d'Octobre et tous les Dunes le remercient chaleureusement (c'est le cas (Lucas...??!!!) de le dire) pour ces moments rares passés avec lui. Un petit mot pour Catherine, une nouvelle venue dans la famille des Dunes, qui faisait son premier semi-marathon et qui n'a pas pu terminer la course avec nous à cause du stress et de la chaleur. Rendez-vous est pris l'an prochain, même date mais avec des conditions plus de saison. Un grand merci à Lucas et à sa famille de nous avoir fait confiance.
C'est pour Lucas....c'est pour Lucas....c'est pour Lucas qu'les Dunes sont là... !!!
Quel beau garçon ce Shahin, du haut de ses 10 ans. Il n’a pas eu froid aux yeux !!!Il a eu raison du MISTRAL, comme l’ensemble de tous les coureurs en ce beau matin d’Octobre. L’Algernon est La course de l’intégration par excellence. Tout le monde ensemble, vaildes et non valides, pour une belle course à pied. Algernon c’est le nom de la petite souris dans le livre de science fiction «des fleurs pour Algernon » à lire absolument.3 distances au choix, 5, 10 ou 16 km . Eh bien mêm’ pas peur, on part pour un baptême « Joelette » pour Shahin de 16 km, sous les yeux émerveillés mais un peu inquiets de Fahima , sa maman : « 1h30 ça va faire un peu long pour lui non ? ». Non non non, 1h30 de grand plaisir , en passant son temps à chanter pour braver le mistral. C’est sur que pour avoir un ciel et une mer bleue Azur faut faire du nettoyage…. Un petit pipi au milieu pour Shahin, c’est pas grand-chose à priori , sauf que là, Shahin a su nous l’exprimer avec ses mots, au grand étonnement de sa maman, ravie de le voir arriver en héros sportif sur la ligne d’arrivée , heureux comme tout ! Oui on a eu la chance d’avoir beaucoup d’échanges avec ce jeune homme au grand sourire. Un adepte de plus que l’on reverra sûrement sur une prochaine sortie…..
Youssef : "on a couru avec des lycéens. Ils étaient sympas. J'étais en joélette, Jean Paul de Dunes d'espoir m'a fait rire, on a gagné des coupes, c'était trop bien !"
Brandon : "J'ai fait de la joélette à Rueil Malmaison. Je me suis bien amusé, j'aimerai bien encore aller courir !"
"Axel, Kevin, Caroline, Louise et Marwan ont couru avec un accompagnateur pour s'entrainer au cross. Ils ont fait 4 km, se sont un peu perdu mais tout s'est bien terminé !"
Kévin : "que tout était bien, mais le circuit était un peu long ! "
Rayan : "Nous sommes allées faire un cross à Rueil, certains debout, d'autres en joélette. C'était cool, on a gagné des coupes !"
Morgane : "J'ai fait le cross en joélette avec des étudiants, j'ai voulu leur donner ma coupe car c'est eux qui ont couru et pas moi ! J'ai adoré, c'était trop bien, bravo à tous !"
Pour mon deuxième Trail de la Roche d'Oëtre, j'ai réussi à entrainer avec moi mon pote de course Christian qui l'année dernière s'était fait porter pâle, une maladie diplomatique l'ayant empêché de prendre part à la fête. Cette année en revanche, pas question de louper ça : départ de Ouistreham à 7h30 par des froids sibériens direction Putanges où mon frère Jérôme, malade pour de vrai, nous attendait pour nous conduire sur le site. En arrivant sur place, quelle ne fut pas notre surprise de constater qu'il ne faisait que 1 degré..... et que malgré ce froid polaire, toute la petite famille des Dunes, madame la présidente en personne, était déjà là et n'attendait qu'une seule chose : que le départ soit donné... !!! Après avoir installé Lucas sur la Joëlette, nous partîmes 5 minutes avant le gros de la troupe pour un périple vallonné ( c'est le moins qu'on puisse dire...!!!) de 26,5 kms dans un cadre magnifique. Dès le début de la course, nous perdîmes Patricia, victime d'un gros caillou qui atterrit sur son genou : je rassure tout de suite sa famille et ses amis ; en effet, nous la revîmes au ravitaillement, le genou pansé, prête à revenir terminer le parcours avec nous..... Quelle santé ! Le début de la course fut toujours aussi difficile : 5 kilomètres en presque une heure seulement..... !!! Mais les rires de Lucas nous ont bien vite fait oublié la fatigue : autant au semi marathon d'Argentan, il nous avait semblé tendu et pas rassuré, autant là, il s'est beaucoup amusé malgré les branches qui frôlaient son visage et le froid qui lui mordait les mains et les pieds. Au 10ème kilomètre, changement au niveau de la Joëlette : Lucas céda sa place à Inès. Mon frère Jérôme décida de s'arrêter car il ne pouvait plus respirer : chapeau frérot ! Dans ton état, je ne serais même pas venu ! Tiphaine, la maman d'Inès, prit le relai de mon frère accompagnée de Sébastien, un habitué qui cette année avait décidé de ne faire que la moitié du parcours. Nous repartîmes donc dans la joie et la bonne humeur et c'est en 3 heures et 34 minutes que nous bouclâmes le parcours, accueillis comme il se doit par des applaudissements pour Inès et pour Lucas qui je pense ont vécu un grand moment convivial et sportif.
Quant à moi, je tiens à remercier au nom de Dunes les organisateurs et tous les bénévoles qui font de ce trail un moment unique et festif. Un gros bisou à Lucas et à Inès et à leur famille : sans vous, tout ceci n'aurait pas de sens. Et surtout, un grand grand merci à Valéry, Michel, Isabelle, Patricia, Sébastien, Laurent, Christian, Jérôme, Tiphaine et à tous les Jean (Jean-Paul, Jean-Pierre, Jean-Louis, Jean-Marie) de me faire vivre ces moments intenses et précieux.
Des chants, du rythme et des rires. Des crêpes, des huitres et du cidre. De la musique, du partage et des sourires. Une fête bretonne ? Presque cela. Et encore plus. Les Dunes d'Espoir ont pris part à la 12ème édition du Marathon de Vannes, le week-end des 15 & 16 octobre 2011. Un magnifique parcours au départ de cette belle cité bretonne. Une sacrée ambiance parmi près de 2800 participants. Les 8 jeunes qui se sont relayés sur les 4 joëllettes de l'assocation ont pris beaucoup de plaisir, tout comme leurs accompagnateurs. Venus des quatre coins de la France, à l'invitation de l'Antenne Grand Ouest de Dunes d'Espoir, ces jeunes ont vécu l'expérience de la course à pieds dans un cadre de toute beauté
Victor est un habitué des courses de Dunes. Elève sérieux au collège de Soultz sous forets, entouré de bons copains, il a su se faire sa place. Une seule chose lui manquait pour être totalement comme les autres, participer au cross du collège. Une petite discussion lors du Téléthon 2010 (qui n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd) et hop, nous voila revenir 20 ans en arrière à l’époque ou nous dûmes, contraints et forcés, participer à ce cross. Sauf que la différence, c’est que face à la mine des mauvais jours de certains jeunes qui n’avaient aucune envie de courir, l’équipe Dunes se sentait, avec Victor, dans une ambiance de fête ! Peu après 8h30 nous arrivons en courant au collège de Soultz. Victor nous attend de pied ferme, déjà dans les starting blocks. Il a envie de montrer à ses amis de quoi nous sommes capables. Ce matin, nous serons 3 Dunistes à s’élancer, … Stéphanie qui était prévue doit le cœur lourd se désister en raison d’une bronchite. « On pourrait courir un peu » nous lance Pascal, bonne idée ! Nous nous élançons sur le parcours avec les classes de cinquième, Victor n’a qu’une hâte, c’est de se faire secouer. Pour nous, c’est l’occasion aussi de s’échauffer la voix… parce qu’à 4 (avec Victor), il faut crier encore plus fort. Le tour de chauffe terminé, les choses sérieuses commencent. Les quatrièmes garçons sont sur la ligne de départ, c’est la course de Victor, notre course. Tous les jeunes nous encouragent, quel esprit positif ! 3 - 2- 1, c’est partie ! Victor finira son cross 42ième.
Soleil au zénith, ciel bleu, paysage de mille couleurs chatoyantes et spiritualité sont au rendez-vous sur ce rocher bien connu : le Mont Sainte Odile nous ouvre les bras sur son roc mégalithique et Jean, notre petit passager du jour, est conquis. Le contexte météo de cette journée dominicale illustre bien la saison : -4°C et un brouillard à couper au couteau composent le comité d’accueil des participants arrivant à Ottrott en ce tout début de matinée. Les hautes herbes grisées de givre ont raison des plus téméraires en short au moment de sortir des voitures garées en pleine verdure, mais on se remue ! Et le départ sera donné sans attendre : on installe Jean dans son véhicule du jour, la joëlette, on le couvre d’une épaisse couverture, l’épingle de son dossard et le positionne au milieu de la troupe sur la ligne du départ. Top, c’est parti pour le premier semi-marathon organisé à Ottrott ! Et Dunes d’Espoir n’a pas attendu pour y participer. Jean se lance avec les huit dunistes du jour pour sa première grande course et se voit recruté pour une tâche, non des moindres, celle de prendre des photos, tâche qu’il assume à merveille. Les premiers kilomètres empruntent les rues de villages et traversent le vignoble environnant : Jean immortalise les alignements de ceps de vigne et les maisons qui lui plaisent. Dans cette ambiance brumeuse de début d’hiver, le charme des maisons à colombages et leurs couleurs chaudes opère … l’on comprend comment les touristes sont séduits par la beauté de l’architecture typiquement alsacienne de notre région ! Petites buttes, descentes rapides, à travers champs et sur route, permettent à nos gambettes de bien s’échauffer. L’on se demande quand arrivera cette fameuse montée de 500 mètres de dénivelé. « Le mont Sainte Odile se situe-t-il à mi-parcours de la course ? – Oui, à peu près » : la réponse d’un duniste expérimenté à son homologue novice. Bien, ça nous donne un repère… Les six premiers kilomètres nous mènent donc au vif du sujet : l’entrée dans la forêt et le début de la montée. Pour nous encourager, une troupe de musiciens folkloriques vêtus d’une redingote rouge et une bombe vissée sur la tête nous joue un morceau de trompes de chasse : il s’agit des Echos du Guirbaden qui défendent leur instrument avec ardeur : « Ce ne sont pas des cors de chasse, attention ! » Bien compris… Jean est à présent poussé et tiré dans ce bois sombre, sur un chemin qui serpente à la manière de la route qui mène à l’Alpe d’Huez : des virages en épingle à n’en plus finir ! Le sol, recouvert d’aiguilles, est tout à fait carrossable et permet à Jean de gravir les mètres de dénivelé à allure régulière et sans être trop secoué. Voilà que les rayons de l’astre le plus convoité « en bas » percent les arbres, de plus en plus nombreux à mesure que nous grimpons. Ils font scintiller la rosée sur la mousse et surtout laissent augurer un temps merveilleux « là-haut ». Quelle lumière ! Toujours sur le chemin sinueux de la forêt et avançant à petites foulées, nous profitons d’un spectacle de tout beauté : une brume épaisse à l’image d’une « cotonnade » dans la vallée, un ciel azur en altitude, et la vue du mont au loin, sur la colline. C’était au prix de nos efforts. Des efforts qui vont pourtant se poursuivre encore sur quatre kilomètres. « Le Mont à mi-chemin », avait-il dit…A mi-chemin, eh bien nous en sommes encore loin, du Mont ! Qu’à cela ne tienne, nous irons jusqu’au bout chercher ce panorama dont on s’imagine tant la grandeur. Au sortir de la forêt, nous voici au pied de ce gros rocher que nous contournons et dont nous contemplons, -oui, contemplons, vu le rythme de nos lourdes guiboles-, les fresques en céramiques brillantes du chemin de croix. « A chacun sa croix », dira un coureur en passant devant ; s’agissant de nos jambes, nous comptons sur elles pour nous porter jusqu’au sommet tout proche. Nous apercevons la statue de Sainte Odile surplombant nos têtes et nous indiquant encore quelques marches à gravir. C’est après un dernier tournant que nous atteignons enfin le sommet. Nous laissons à Jean le temps de profiter avec ses parents de la vue enchanteresse sur les collines tachetées de jaune, orange, ocre, rouge, vert, des vallons embués qui nous donnent l’impression d’être au-dessus des cieux. Le lieu plein de spiritualité est aussi magique par son environnement. Nous reconstruisons nos réserves d’énergie, asséchées par cette montée de près de huit kilomètres, et prenons le chemin de la descente qui débute par des escaliers : Jean prend de la hauteur grâce aux bras musclés de ces garçons, bien décidés à gagner en allure pour le plaisir de leur passager. Sensation de vitesse oui, mais quelque peu freinée par la présence d’une multitude de petits rochers. Et l’on entendra « cailloux ! cailloux ! » du fin fond de la forêt, comme ces marmots qui remplissent leurs poches de leurs premiers précieux trésors … A nous de découvrir avec perplexité le syndrome de « l’alpinisme à l’envers » : plus tu descends, plus t’as froid. Eh oui, après la série brume-soleil, nous refaisons soleil-brume. La vallée n’a pas eu le temps de s’éclaircir, l’humidité est à son comble et la chute des températures désagréable. Le spectacle et les sensations sur le Mont prennent ainsi une saveur toute particulière… A la sortie du bois, trois ou quatre kilomètres nous séparent encore de la fin de la course. Les échos des animations au village sont perceptibles et nous regagnons la civilisation. Au détour d’un chemin, nous croisons les animaux du jour : aujourd’hui, c’est un membre de l’organisation en chasuble fluo accompagné de deux chèvres…faut croire qu’il ne voulait pas se sentir seul, ici, à faire la circu… Le dernier kilomètre et nous voyons la ligne d’arrivée : Jean sort de la joëlette et, flanqué de dunistes, marche superbement jusqu’à l’arrivée, sous les acclamations de ses supporters, nombreux à faire s’écrouler les barrières ! L’émotion est bien au rendez-vous, ses parents accueillent leur Jean à bras ouverts et s’empressent de l’embrasser. Question du jour à Jean, pour qui s’était la première grande course en joëlette : « Qu’est ce qui t’a le plus plu ? - La vue de là-haut… ». Sur ce coup-là, on est tous d’accord ! Et pas de doute, ça valait la peine de faire de la grimpette aujourd’hui !
Qui aurait pu prévoir pareil temps après une semaine si grise et humide ??? Réveil très matinal avec un ciel d’un noir profond laissant entrevoir des myriades d’étoiles. Ceci annonçait effectivement une très belle journée en vue. Anissa et Babou ne vont pas regretter d’avoir mis le réveil à 5h30…. Préparations des joelettes, embrassades entre marcheurs et nos 2 jeunes, dans le noir. Et puis miracle des couleurs orangées commencent à éclairer les beaux visages des chères demoiselles. 8h00 le départ pour une randonnée « difficile » dans le massif des Calanques de Marseille Cassis. Babou et Anissa, les porteurs aussi vont en prendre …...... Ah non alors, stop, ça suffit !!! Pierre, en tant que responsable de l'antenne sud, tu es très bon gestionnaire, excellent communicateur, un parfait ami des enfants, mais franchement en tant que conteur, c'est plus que moyen... Je reprends donc la plume !!!
Pour la deuxième année de suite, nous avons été invités par les gentils organisateurs de cette magnifique randonnée qui vient en préambule de la course internationale Marseille Cassis. C'est l'occasion rêvée pour les enfants et les coureurs habitués à traverser de magnifiques paysages sans avoir le temps d'en profiter totalement, de savourer pleinement ces magnifiques paysages du massif des Calanques, de deviser entre nous et de partager notre expérience avec des marcheurs conquis par nos « exploits ». Après une première montée accomplie le cœur vaillant et le sourire aux lèvres, nous atteignons les premières difficultés d'un pierrier étroit et pentu. Une pause réparatrice vite expédiée et nous nous engageons dans la deuxième partie de la randonnée dite difficile où de chemins escarpés en passages sportifs, nous cheminons sur les crêtes qui dominent les calanques. Il fait beau, la mer est magnifique, Babou et Anissa ne perdent pas une miette des paysages grandioses même si les acrobaties que les porteurs ont du faire par endroits ont parfois assombri leurs visages radieux. Après un peu plus de 4 heures de marche et un détour par le belvédère d’En Vau pour admirer la plus emblématique des calanques, nous atteignons le site de la Gardiole pour la pause.
Apéritif VIP avec les organisateurs, pique-nique à l'ombre des lauriers-roses, toute petite sieste réparatrice, quelques pas de danse esquissés sur le podium et il est temps de s'engager sur le chemin du retour. Nous entamons une longue descente vers Cassis avec comme nouveau compagnon de voyage William qui a pris le relais d'Anissa. Les chemins de pierre sèche nous ramènent au bord de l'eau et après avoir longé le port de plaisance nous flânons à travers Cassis où l'été indien semble s'être installé pour le WE. Nous franchissons la ligne d'arrivée fictive où les organisateurs nous ont réservé une belle surprise. Sous les vivas de nombreux randonneurs qui tout au long de la journée nous ont chauffé le cœur avec leurs sincères encouragements, tout le groupe monte sur le podium et Anissa reçoit, pour les enfants de Dunes, un magnifique trophée.
La journée s'achève sur le sable de la plage de Cassis (où nous jetterons un voile pudique sur certaines anatomies) et il est temps de rejoindre nos pénates, les yeux éblouis par la beauté des lieux et par les regards émerveillés de nos chères et chers compagnons de route. Allez Pedro, j'avoue, mon style n'est pas meilleur que le tien. Aussi, tous ensemble soyons prêts à affirmer, en vertu du dicton bien connu : « jamais deux sans trois », donc rendez-vous l'année prochaine, même heure, même adresse …. » avec encore plus de Parisiens Dunistes !!!
Quand Gregory et ses copains de la Société Générale, débarquent sur une course, ils ne font pas « semblant ». D’abord, ils viennent avec un moteur gonflé à bloc. C’est une sorte de turbo 10 dernière génération, une mécanique bien huilée programmée pour courir vite. Et puis, cerise sur le gâteau, ils apportent la carrosserie, deux superbes joelettes entièrement sponsorisées par la Société générale.
Avec un tel équipage, il nous fallait des pilotes confirmés, chevronnés, … Des conducteurs qui n’ont jamais froid aux yeux en toutes circonstances. Charlotte et Jérémy sont les champions tout désignés.
Avant de s’élancer dans la nuit sur le 18 km et sur le 10 km de la course des Flambeaux à Montfort l’Amaury, l’équipe des dunes d’Espoir s’affaire dans le paddock. Derniers réglages, dernières consignes avant de lâcher les gaz…
Malgré la nuit et les premières fraîcheurs de l’hiver, la course fût une simple formalité pour nos bolides et nos pilotes ont été une nouvelle fois, magnifiques.
Il n’y a pas de belles courses, sans beaux circuits. Merci Nathalie et Philippe de votre accueil, la course des Flambeaux est une très belle épreuve à faire et à refaire
Merci à tous pour cette douce soirée qui se termina autour d’un verre de l’amitié et d’une soupe bien chaude. Domi
Ooooh les gars et les filles !! Oh oh , vous vous levez, oui, bandes de fénéants… Si je vous dis qu’y a plus de pluie et que le soleil est revenu comme au printemps !! Quand c’est pour moi pas moyen de vous lever , chef ou pas chef , aucun respect !! Bon et si je vous dis que c’est pour partir en ballade avec nos 2 pitchouns Shahin et William ? Ha là tout de suite on enfile le short, on se lave même pas et zou on part …. Bon là vous savez être à la hauteur et les faire rire et chanter !!! Bon je comprends qu’ils vous motivent, alors je passe !!! Moi de toute façon, Si les petits sont contents, Les coureurs autour, enthousiastes, parfois même participatifs, Les organisateurs ravis une nouvelle fois de cette touche magique dans la course, (et ils méritent bien qu’on les remercie haut et fort ) Et mon petit plaisir à moi….. seul Des FLAQUES DE BOUE. Eh oui une sortie Dunes sans flaques n’est pas une sortie Dunes, pas vrai les enfants ? Bon par contre petit bémol pour Shahin… : quand tu t’arrêtes pour faire pipi après tu dois remonter sur la joelette et pas partir avec les autres coureurs, sinon nous on fait quoi ??? Une joelette à vide , on a l’air malin !!! et ton invention du nouveau frein de joelette avec le pied sur la roue, c’est très rigolo mais quand même sur le plat et en montée c’est fatigant.. Bon , non , sérieusement , William tes superbes petits sourires et tes câlins irrésistibles ( même si tu nous arrache un peu de cheveux à chaque fois ! ) et Shahin avec ton énergie remarquable, on se refait une matinale avec vous dès qu’on peut . OK ?
Quel magnifique crû que cette Vallée de l’Espoir 2011. On ne vous reparle pas de l’accueil, de la gentillesse des organisateurs, du parcours dans les bois et les sous-bois … Vous connaissez par cœur. Cette année c’était encore mieux, le soleil était au rendez-vous, de nombreuses joëlettes étaient présentes (celles des Dunes, mais aussi celles de Pompier Raid Aventure, d’Air France…). Un merci particulier aux pompiers qui n’ont pas voulu laisser Thomas sur la ligne du départ et ont accepté de le prendre en charge sur une de nos joëlettes.
Plein de nouveaux enfants cette année : Léa, Noah, Thomas et Shawn ont eu leur compte d’émotions. Des plus « anciens » aussi, Taryll, Gwendal et Rufus, toujours aussi motivés. De nouveaux coureurs enfin ont vécu leur baptême de joëlettes avec brio, merci à eux, Raphaëlle, Stéphanie et Jérémy. Il y a même des parents qui ont appris qu’ils étaient capables de courir 10 Kms, sans équipement ! Chapeau aux parents de Noah !
Ce fut une belle fête avec et pour tous ces enfants. Vivement l’an prochain !
Quelques témoignages dans les équipes :
« Taryll n’est pas un inconnu. Avec Dunes d’Espoir, il était très jeune quand il s’est engagé dans la belle aventure de la Transoasis 2006, en Tunisie. Les souvenirs reviennent quand il voit les maillots jaunes. Pendant la course, il s’informe : « Qui est devant ? Qui est derrière ? A quelle place sommes-nous ? J’ai envie d’aller vite…je veux être devant ». L’air de rien, il nous pousse au maximum de l’effort. Après l’arrivée, les mots sont rares, il a retrouvé son père. L’expression de ses yeux et le sourire aux coins des lèvres en disent long sur sa satisfaction : « Je veux voir ma médaille et lire ce qui est écrit dessus… ». Taryll, merci à toi de recevoir de cette manière ce que nous aimons offrir, nous sommes là pour cela. » André
La joelette « enchantée » « Le chef d’équipe Bichon a pris sont rôle très au sérieux, aussitôt la course terminée Les ordres ont fusés et notamment « Eric tu te charges du compte rendu » ,étant du genre obéissant ,je vais vous conter en quelques lignes l’odyssée de la joelette de Léa dans les bois de Meudon lors de cette magnifique course de l’espoir Quel belle équipe,Léa et Champion la mascotte sur le fauteuil et quatre coureurs blagueurs ou plutôt quatre blagueurs coureurs : Bichon, stéphane,Laurent et moi-même Pour sa première course Léa peut dire « même par peur « ,elle s’est tout de suite bien sentie dans la joelette ,profitant de la course .Je vous passe les traditionnelles escapades dans les sous bois ,les escalades de troncs, la descente façon TGV dans le dernier KM,pour arriver à l’explication du titre du compte rendu Stéphane notre vaillant coéquipier a , figurez vous un magnifique organe….il chante comme un pro, nous voila partis pour un tour de chant de 10 KM aussi varié qu’insolite : les standarts de la chanson française,les contines de notre enfance,les grands classiques …un vrai juke box le Stéphane ( pour les jeunes le juke box est un espèce de gros MP3… !!! ) Nous derrière, nous faisions les chœurs et comme vous savez ,on ne manque pas de cœur chez les DUNES !!! Après une arrivée triomphale sous les hourras de la foule en délire ,Léa et ses petits camarades sont longuement applaudis lors de la remise des prix :chocolats,médailles (et non pas médailles en chocolat !) Déjà les « au revoir », les »à bientôt », notre chef Bichon a déjà un peu la tête ailleurs peut être pense-t-il à son prochain week-end !!! »
ERIC « Shawn a été particulièrement en forme. Pour tout dire, il a carrément mis le feu à la joëlette. C'était en permanence, allez les Dunes plus vite, encore plus vite ! Il a aussi été continuellement préoccupé par son classement. Bref une vraie bombe ! Et que dire de son arrivée. A peine les pieds à terre, il a filé comme une flèche vers l'arrivée. A telle point que nous avons franchi la ligne bien après lui. Une bombe, je vous dis Monsieur, une vrai bombe ce gars là !! » Jean-Luc « Par un Dimanche matin très ensoleillé, étaient réunis autour de Gwendal, Raphaëlle, Jérémy, Marcel, Jean Paul et Jacques, pour affronter les 10 km de la course de Meudon. Gwendal nous a guidés dans les bois de Meudon où nous avons constaté une certaine négligence de la part des balayeurs qui avaient laissé beaucoup de feuilles sur le sol.. Bien entendu devant ce désordre naturel, Gwendal nous a demandé de remettre un peu d'ordre dans tous cela ! Jean Paul s'est précipité pour exécuter la demande en arrosant Gwendal de feuilles mortes. et créant une couronne de feuilles dans son bonnet. Cette journée étant "Porrte ouverte pour les joëlette", plusieurs coureurs ont accepté de se joindre à l'équipe pour guidere Gwendal jusqu'à la ligne d'arrivée. Cette balade champêtre s'est terminée sur la terrasse de l'observatoire Pour leur grande première avec les Dunes, Raphaëlle et Jérémy passaient la ligne avec Gwendal sous les applaudissements des spectateurs. »
Salut Tizautes (en français je sais pas laicrire !), Aprés l' énorme bonne surprise que vous m' avez faite hier, je me suis réveillé ce matin en me disant que pendant ces nombreuses années, je n' avais pas perdu mon temps à vos cotés La ligne de conduite que je m' étais fixé et qui est toujours la même passe d' abord par la joie et le bonheur de enfants et même si notre ego doit être mis de coté, j' aime à répéter que ce bonheur doit être aussi partagé par tous ! Et hier, vous étiez la, les enfants et leur famille, les coureurs, coureuses et les organisateurs de courses Vous enlevez un élément de ce puzzle indissociable et tout bascule ! Milles MERCI à vous tous pour votre présence ou votre geste Votre présence seule suffisait à conforter mon opinion que je n' étais pas à coté de la plaque dans ma démarche Dunes Bien au delà, vous m' envoyez en Corse, je suppose en mission de repérage pour savoir, j' en suis persuadé si "ça passe en joélette" sur le GR 20 Sur que je vous donnerai la réponse à mon retour et si "ça passe"........Pourquoi pas ? Merci pour ce superbe cadeau Merci à Gilles, l' amandinois, initiateur de cette géniale soirée, aussi efficace que discret, Merci à Isa, mon épouse, (la Ch' ti), sa complice d' organisation de son habituelle réactivité à ce genre de projet, Merci à vous toutes et tous pour cette ballade des Duneurs heureux, Merci à Jean Mo, des Weppes pour ses intermèdes trompettistes et la mise à disposition de la sono, Merci à Huguette, JB et Eric pour m' avoir inscrit d' office dans le Guinness book (pas celui de la bière), Merci aux "cras culs" d' Houplines, Christine et Christian pour la déco des tables tout en jaune, Merci à Eric pour la réalisation de ce superbe album rétro qui en dit long sur la "fièvre jaune", Merci à Guy Mich (Numérix) pour les instantanées prises lors de la soirée, Merci à Isa, Georges et Jean Paul des Dunes Paris d' avoir fait le déplacement dans le "Grand Nord" pour honorer la Ch' ti team C' est ça aussi l' esprit Dunes ! Merci à Pierre, O Gari !, le sudiste pour son rayon de soleil en chronopost, Merci à vous toutes et tous qui avaient écrits quelques mots dans le "livre d' or" des sentiments, Merci à Hélène et Bruno d' avoir initié la Ch' ti team et toutes ces joies qu' elle nous apporte, Beaucoup de chemin a été parcouru, il nous reste encore pleins de choses à faire! N' oublions pas la vocation première des Dunes qui est d' apporter de la joie et du bonheur à "nos jeunes", ils comptent sur nous ! Alors TOUS ENSEMBLE, TOUS ENSEMBLE...........Et 1, Et 2, Et Dunes d' Espoir ...... Amitiés Ch' tis à Tertous Philippe (et fier de l' être !)
Marie et Nuvan avaient décidé d'accompagner 12 furieux pour courir 16km dans les rues Garchoises. Quelques faux plats montants et de bonnes descentes nous ont permis de faire fumer les pneus. Georges va avoir du travail ... Au fait Georges, tu peux enlever les freins, nous n'en avons pas besoin ...
Marie nous a fait profiter d'un timbre de voix exceptionnel quoiqu'un peu faible. Ceci à obliger l'équipe à reprendre en coeur les différentes chansons qu'elle nous proposait son tonton Bruno en tête. N'allez plus à l'Opéra, courrez avec Dunes.
Bien entendu plusieurs coureurs ont eu le droit, je dirais même l'honneur de tester la joëlette. Je pense que nous devrions avoir quelques adhérents de plus l'année prochaine.
La matinée s'est terminée par la remise d'une coupe à chaque enfant.
Nuvan a clôturé la remise des récompenses en demandant à toutes l'assemblée de lui faire plaisir, en applaudissant les coureurs qui les avaient accompagnés, lui et Marie dans les rues Garchoises. Comment refuser une telle demande ? Ce fut un tonnerre d'applaudissements !
Merci les enfants pour le plaisir que vous nous avez offert.
C'est sous un ciel gris et couvert typiquement "Nordiste" (qu' importe, le soleil était en nous) que nous avons participé activement au téléthon en reliant l' hypermarché Auchan Noyelles Godault à celui de Villeneuve d' Ascq avec un petit détour par Décathlon Villeneuve d' Ascq (soit 35 kms et des poussières humides au compteur étalonné de Robert) Pour Yann, c' était son "baptême" de joélette et après une mise en jambes un peu fébrile, notre "néophyte" se lâchera totalement au point de donner les indications de parcours par talkie walkie à sa maman installé à bord du Zaphira qui servait de véhicule assistance JB quant à lui mena comme à son habitude un train de sénateur, serein et sur de lui....le cigare en moins (pas de cendrier sur les joélettes) ! Un peloton fourni de cyclistes et rollers composé d' agents du personnel d' Auchan nous "escorta" sur tout le trajet sécurisant les intersections et apportant sa bonne humeur Le départ et l' arrivée furent 2 moments intenses de l' événement Pas courant, en effet de prendre un départ au bon milieu de l' allée centrale d' un hypermarché et encore moins d' arriver au bon milieu du rayon lingerie féminine de l' autre un samedi après midi à 15 jours de Noél ! Nous remercions Olivier, l' organisateur de l' événement et toute son équipe pour l' accueil chaleureux et "gastronomique" réservé à tous les participants Petits dej fournis au départ et collation à l' arrivée ! Merci Olivier de transmettre nos remerciements à toute l' équipe d' organisation Merci à Isa, Jean Pierre et Olivier de l' Antenne Parisienne d' avoir fait le déplacement matinal au pays Ch' ti et d' avoir assuré des relais efficaces (Isa, merci de faire suivre à Jean Pierre et Olivier) Outre la joie habituelle apportée aux jeunes, en cette journée nationale de Téléthon notre périple a permis de "récolter" la somme 5000 euros émanant des 2 grandes surfaces Auchan et celle de Décathlon au profit de l' AFM Rien que ça est suffisant pour faire passer à chacun d' entre nous les courbatures du lendemain ! Guy Mich, pardon.... Numérix s' est chargé de vous envoyer le reportage photos Bonne continuation à Tertous Amitiés Ch' tis Philippe
4 décembre - Course de Saint -Cyr : Trail Terra Natura
Extrait de discussion dans la voiture en partance pour Saint Cyr Les Lecques: « Généralement pour les sorties des Dunes on a une bonne étoile; il fait toujours beau ». La vérité c'est qu'avec des co-pilotes comme Victor il fait toujours beau dans nos têtes quand on est autour de la joélette. On en oublierait qu'on est parti sans Pierre, qui s'était pris pour Yannick Noah la veille ( un petit claquage de rien du tout ils sont vraiment douillet ces hommes!!). On en oublierait la tentative de sabotage de joélette qui a bien failli marcher, déboulonnage du montant droit au 9eme kilomètre vite réparé par notre équipe de choc. Et toutes les flaques qu'on a ratées... Et oui tout ce qu'on retiendra c'est les sourires et les câlins de Victor, le soleil, l'odeur des posidonies en passant sur la plage de la Madrague, les petits sentiers un peu pentus parfois tout de même, la mer, les encouragements des autres coureurs et le plaisir d'être ensemble. Sans oublier les descentes menées à toute allure par Christelle (heureusement pour nous un peu fatiguée ce jour). Et pour finir, cette arrivée mémorable sur la plage, et le sprint final du champion du jour qui a bien mérité sa coupe. ...Vu les mines réjouies à l'arrivée je gage que les nouveaux venus sont contaminés pour la suite et qu'on les reverra. Allez, l'année prochaine on se baigne en arrivant! Remerciement spécial à Lise et Catherine pour avoir ramassé les morceaux semés en route , quelle organisation ! Pierre, dit « le Boiteux » voulait juste rajouter une mention spéciale pour les organisateurs au grand cœur qui nous recevaient pour la première fois, mais certainement pas pour la dernière !!! Christine, dit « la Fusée »
Fraîchement ravivée de rouge et autres pourpres très en vogue, nous voilà déguisés pour la corrida outre les multiples père Noëls ambulant nous avons eu droit à Happy Feat (merci Sylvain), qui excitèrent davantage nos jeunes filles mère noël était aussi de la partie (merci Marie-Caroline) et bien que les déguisements de cette fin d'année volèrent la vedette à nos sublimes tee-shirt jaunes, nous ne nous démontâmes pas.... foulards, tee-shirts apparents et autres accessoires pour imposer les Dûnes à cette course se font plus voyant, mais pas suffisamment semble t-il car bien qu'il y ait des choses à dire...nous ne nous étalerons pas sur le départ un poil tardif car ne ne pouvions passer faute de jaune peut être... la faute à qui ? peu importe ils se trouvent que nous avons eu beaucoup de mal à accéder au départ, mais nous avons rattrapé cela avec record au départ... un 18 km heure !!! non en fait nous somme partie comme des bombes mais j'étais la seule à avoir fait du 18 km. Blague à part, j'ai en effet du mal à quitter ma joie de vivre tant le sourire (malgré l'accès peu facilité pour nos jôelettes) de nos deux passagères nous ont mis en joie ce matin. Philippine et Salomé tout sourire (cf les photos) nous ont véritablement communiquées leurs joies. En toutes fêtes qui se respectent sommeil un Bacchus, et nous en avons bien profité avec leurs sublime vin chaud (interdit au moins de 18ans) à l'arrivée, mais rien n'est pareil sans les petites collations de Nadette !!! Merci encore, Philippine à du mal à se contrôler quand aux sucreries mais on la comprend tellement !
Je tenais à remercier du fond du cœur ces jeunes filles, car nous avons passé un sublime moment en leur compagnie, des plus agréables, on ne peut résister à tes rires Salomé !!! Vous noterez que les photos ont été prises au gré des bons vouloir de mon portable et à l'allure que je vous décrivais tout à l'heure, je ne pouvais pas me permettre des visages sans sourires et bien c'est un sans fautes ! merci car grâce à votre bonne humeur permanente nous vous avons épargné les pires montages.
Rien ne vaut le naturel...
Merci aux Dûnes, un grand merci à Philippine, Salomé (et leurs parents) pour leur participation. un grand merci à Nadette pour ce que tu es pour nous et les enfants simplement et un grand merci aux coureurs, pour ce moment passé avec vous.
Le mercredi 14 décembre 2011 restera dans le coeur de 11 enfants de Dunes d'espoir une journée absolument magnifique et exceptionnelle. Denis Brogniart, notre parrain, leur a fait une proposition aussi inatendue que merveilleuse : participer au noël des enfants de l'Elysée. Pensez vous ! voir Denis Brogniart sur scène, en vrai, puis le président et sa charmante épouse...le tout accompagné d'un excellent goûter dans les salons de l'Elysée, d'un superbe spectacle à Mogador, d'un Mickey et d'une Minie attentifs et patients pour les photos, d'un gros cadeau, et même : de deux places pour euro dysney ! Que dire des étoiles qui se sont allumées et ont si bien scintillé dans leurs yeux ? Ils ont vécu un rêve éveillé, ça faisait longtemps que je n'avais pas vu une telle transformation, une telle métamorphose de nos jeunes.
MERCI à Denis, aux enfants et aux parents, à Didier Lemaitre qui a organisé et synchronisé toute cette journée, sans parler de la générosité de notre parrain qui a été encore plus loin dans sa démarche, en nous soutenant financièrement pour les projets à venir.
23 juillet - Nocturne du Hans 
